Mélanie était une petite serveuse d’un rade que je fréquentais à l’époque où j’étais étudiant et où je glandais pas mal.
Elle avait un visage fin et harmonieux qui lui permettait de porter les cheveux courts et de rester extrêmement sexy.
Elle m’avait bien fait comprendre que je l’intéressais et prenait un malin plaisir, en venant me servir, à se pencher sur la table pour me faire profiter de son
décolleté !
Une fin d’après-midi pluvieuse que j’étais seul dans le bar, assis à ma table du fond, plongé dans la lecture de « rock & folk », elle est venue à
nouveau me placer habilement ses jolis petits seins sous le nez, ce qui me procurait à chaque fois une sympathique chaleur dans le bas-ventre.
Mais cette fois, elle a fait plus fort : alors qu’elle me regardait droit dans les yeux, ses seins touchant quasiment ma poitrine, elle a renversé la moitié du
verre sur moi.
Elle s’est excusée avec un grand sourire et a pris une serviette pour éponger le liquide.
Après avoir épongé ma chemise, elle s’est attardée sur mes cuisses et ma braguette, ses gestes se faisant à la fois plus lents et plus insistants.
Comme je ne porte jamais de sous-vêtements sous mes jeans, elle n’a pas eu de mal à voir et sentir que ma queue était bien dure et tendait le tissu.
Son visage était si proche du mien que nous nous sommes embrassés tandis qu’elle me branlait carrément à travers mon pantalon.
D’une main habile, elle dégraphait ma braguette et glissait ses doigts à l’intérieur, découvrant ma bite bien tendue.
Elle me souffla à l’oreille : « J’adore les mecs qui ne portent rien dessous, je trouve ça trop excitant ».
Elle m’a branlé fermement à l’intérieur du jeans pendant quelques instants, pendant que je prenais ses seins dans mes mains et plongeait mon visage dans son
décolleté, puis elle s’est redressée, m’a pris la main et m’a dit « viens ».
Elle m’a entraîné dans la réserve, a poussé la porte et s’est plantée devant moi pour relever tout doucement sa jupe, découvrant peu à peu ses cuisses puis
m’exposant sa jolie petite chatte un peu rouquine, en me disant « tu vois, moi non plus je ne porte rien dessous, j’aime aussi me sentir libre ».
Elle s’est assise au bord d’un meuble bas, les cuisses écartées, et m’a attiré vers elle. Elle a sorti ma queue du jeans et l’a coiffée d’une capote qu’elle avait
avec elle avant de me guider vers sa chatte.
Je l’ai prise bien à fond, d’un grand coup de rein, et elle a adoré ça. Moi aussi.
J’étais tellement excité que je craignais de ne pas tenir assez longtemps.
Heureusement, elle avait l’air autant excitée que moi et elle bougeait son bassin, ses fesses et ses cuisses comme une folle pour se planter le plus possible sur
moi.
Je la sentais couler le long de ma bite.
Sa respiration devenait de plus en plus forte et s’y mêlaient des gémissements et de petits cris.
J’avais pris ses fesses entre mes mains et je la soulevais pour mieux la baiser et la faire jouir.
Des clients étaient entrés dans le bar et je les entendais appeler « il y a quelqu’un ? »
« Ne t’arrête pas, surtout ne t’arrête pas » soufflait-elle « je vais venir ».
Soudain tout son corps se cambra et se raidit, elle pencha son buste et sa tête en arrière et se planta si fort et si profondément sur moi que j’eus la sensation
étrange et tellement excitante de l’empaler et de la transpercer entièrement avec ma queue.
« Tu me fais jouir ! »
Elle serrait les dents, le visage crispé, pour ne pas hurler, laissant seulement échapper des grognements.
Puis son corps se détendit. Je n’en pouvais plus et j’allais jouir, mais elle se retira violemment et se pencha sur ma bite pour la libérer de la capote.
« J’ai envie de ton plaisir sur moi » murmura-t-elle.
Elle me plaqua contre le mur et prit ma bite dans sa bouche.
Dans le bar, j’entendais les conversations des clients qui attendaient toujours.
Après m’avoir laissé dans sa bouche un court instant, sentant ma queue prête à éclater, elle l’a prise dans ses doigts et n’a rien eu à faire de plus : j’étais
tellement excité que le seul contact de sa main m’a fait jouir.
Tout mon corps était comme parcouru de décharges électriques : le sexe tendu en avant, mâchoires serrées, j’ai lâché sur son visage de longs traits de sperme
épais, qui ont coulé le long de ses joues, sur son cou et jusque dans son décolleté.
Nous sommes restés un moment tous les deux essoufflés, à nous regarder en souriant, sans rien dire.
Les clients s’impatientaient.
J’ai pris un linge et j’ai essuyé doucement son visage et ses seins, puis elle m’a fait sortir par la porte de service.
Je me suis retrouvé sur le trottoir, sous la pluie, avec encore des crampes dans le bas-ventre, la bite toute raide dans mon pantalon et un sourire béat sur les
lèvres...
Moi, je n'en ai pas encore croisé.
GREG.
Merci de ton com, ça fait plaisir !
A bientôt j'espère
j'adore
une ejac bien copieuse et une histoire que j'aimerais bien vivre